Les bases relationnelles atteignent leurs limites face aux exigences du temps réel, du cloud et de la personnalisation. Les bases NoSQL émergent comme solution, offrant souplesse et performance pour gérer des données massives et hétérogènes. Leur adoption reste freinée par un manque d’outils ETL adaptés, encore centrés sur le SQL. La réussite repose sur une approche data-centrée, la collaboration métiers–IT et l’arrivée d’outils de nouvelle génération capables de modéliser et gouverner les données sans code. Le DSI devient ainsi un architecte de l’innovation dans un environnement hybride SQL/NoSQL.